Friday, June 27, 2008

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Tuesday, November 22, 2005

Les plus grands joueurs de l'OM.

Jean Pierre Papin (1986-92)

Si l’on ne devait en retenir qu’un… 181 buts en 279 matches, que dire de plus ! Élu joueur du siècle de l’OM, J.P.P. a connu ses plus belles heures à Marseille sur tous les terrains d’Europe.





























Jacky Novi (1968-73)

2 titres de champion et deux coupes, ce milieu défensif, qui achèvera sa carrière par un sacre national avec Strasbourg en 79, fut un des piliers de l’ère Zatelli à l’OM.





























Roger Magnusson (1968-74)

Le second suédois de l’OM fut le pendant de Skoblar en attaque. Auteur de 23 buts en D1, ce dribbleur magique était un spécialiste de la passe décisive. Aussi talentueux sur le terrain que gentil dans la vie.





























Bernard Bosquier (1971-74)

Arraché aux griffes de Rocher et des Verts en 71, le remarquable défenseur de l’0M possède un sacré palmarès avec 4 titres de champion, 3 coupes et 42 sélections.





























George Carnus (1971-74)

Le portier à la casquette est arrivé à l’OM en même temps que Bosquier. Ancien gardien des Verts et titulaire en Bleu, c’est un des meilleurs n°1 de toute l’histoire de l’OM.





























François Bracci (1972-80 et 1983-85)

L e grand échassier de l’OM a marqué son époque en défense, aux côtés de Bosquier, Trésor ou Zvunka. Sa période marseillaise sera la plus faste de sa longue carrière.





























Lima Paulo Cesar (1974-75)

Et un aller-retour, un ! Milieu offensif, meneur ou attaquant, ce brésilien aura brillé une seule saison a l ‘OM. 31 matchs en championnat pour 16 buts… et hop, un come back à Flamengo. Dommage…





























Eric Di Meco (1981-86 puis 1988-94)

Le joueur emblématique par excellence. De l’épopée des Minots 81-84 au grand OM de Tapie, Eric a tout connu, les périodes difficiles comme les époques glorieuses, avant de terminer sa carrière chez le voisin monégasque.





























Basile Boli (1990-94)

Remarquable stoppeur, « Base » restera comme l’homme de Munich, buteur face au grand Milan AC, il a donné à la France son premier trophée européen. Une force de la nature au service du collectif.





























Klaus Allofs (1987-89)

Petit gaucher moustachu, l’aîné des frères Allofs n’a marqué que 20 buts en D1 à l’OM avant de poursuivre sa carrière française à Bordeaux. Dommage pour ce vice-champion du monde 86.





























Abedi Ayew Pelé (nov. 1987-89 puis 1990-93)

D’abord dans l’ombre puis en pleine lumière, l’autre Pelé a fait vibrer les foules. Excellent dribleur et passeur, il a quitté l’OM sur le sacre européen de 93. Direction L’OL avec Olmeta et Amoros.





























Karl-Heinz Förster (1986-90)

Un des meilleurs défenseurs de l’histoire de l’OM. Le cadets des Förster a fait régner l’ordre dans la surface, de son poste de stoppeur et avec sa stature de vice-champion du monde 86.





























Eric Cantona (1988-fév. 89 puis 1990-91)

Un des gâchis olympiens. Entre deux exploits et deux jets de maillot, Eric, enfant des Caillots, pas encore The King mais déjà talentueux, n’aura que très furtivement brillé sous le maillot olympien.





























Didier Deschamps (nov. 89-90 puis 1991-94)

Le plus beau palmarès du foot Français a gagné ses premiers titres à l’OM. Capitaine et gros travailleur, Dédé restera comme le joueur qui a soulevé la première coupe européenne remporté par un club Français.





























José Carlos Nepomuceno Mozer (1989-92)

La muraille… En trois ans, avec lui, l’OM se sera révélé comme le meilleur club de France grâce notamment, à sa défense de fer. Avec Boli dans l’axe, il constituait un duo d’enfer.





























Christopher-Roland Waddle (1989-92)

Le plus cher transfert de l’OM à l’époque, il aura largement rentabilisé son coût. « Magic », étonnant dribbleur, a rendu fou bien des défenseurs.





























Fabien Barthez (1992-95)

Arrivé de Toulouse sur la pointe des pieds, il est devenu champion d’Europe à 21 ans. Son insouciance et sa joie de vivre contrastaient dans ce club immense. Un bouquet de fraîcheur.





























Alen Boksic (1992-94)

Arrivé de Cannes sans joueur, le gentil croate fut un buteur remarquable. Dernier marseillais meilleur scoreur de D1, il a pris, quelques mois après le succès de Munich, la route de l’Italie.





























Marcel Desailly (1992-nov. 93)

Arrivé à la fin de l’ère tapie, il a eu le temps de gagner « the » titre of the century avant d’être vendu sur l’autel de la finance au Milan AC en 93. Il a eu du mal à s’adapter avant d’éclater.





























Laurent Blanc (1997-99)

Il a incarné le maître à bord de l’OM au début du règne Drefus, arrivé du Barça en quête d’une ultime challenge, l’OM s’en est séparé brusquement au début de la saison 99-2000.















































Mr Didier Drogba

Un joueur exeptionnel,
un véritable poison
pour les défenses...
Chapeau bas...
merci Didier !!!


Les plus grands entraîneurs de l'OM.

Mario Zatelli (1964-66, 68-70, 72-73)

Ancien joueur de l’OM (il a remporté la coupe 38), ce méditerranéen pur Mistral a été un véritable intermittent du coaching à Marseille. C’est sous l’ère Leclerc qu’il gagne ses galons de grand de l’OM. Trois fois viré et trois rappelé par le boss ! Record toutes catégories inégalé. A son palmarès d’entraîneurs, il compte une remontée en D1 (66), la victoire en coupe 69 et le doublé 79. Même, après son retrait définitif, il est toujours resté fidèle au Vélodrome.

Lucien Leduc (1970-72)

Fin, drôle et cultivé, Lucien Leduc, haut personnage du foot français, reste un cas définitivement à part dans l’OM. Arrivé en cours de championnat 70-71 pour remplacer Zatelli, il allait conclure la saison sur un titre de championnat de France (Le premier depuis1948 !) et reprenait la compétition suivante sur le même tempo. Mais, alors que Marseille comptait sept longueurs d’avance sur son suivant immédiat, sans que l’on sache vraiment pourquoi, il fut remercié par Marcel Leduc, l’histoire olympienne prenait fin sur une drôle de bouillabaisse.

Roland Gransart (1981-85)

Dans la famille gransart, on est olympien de père en fils. Il y a d’abord eu Maurice puis Roland. Roland, c’est l’entraîneur de la fameuse équipe des minots. Il joue encore et n’a que 28 ans, au printemps 81, lorsque les dirigeants d’un OM endetté et en D2 lui demandent de prendre en main l’équipe. Ou, du moins, ce qu’il en reste. Toutes les stars ont fui, gransart lance alors une bande de gamins, les pascal, De Bono, Di Falco and co, pour l’une des pages les plus rafraîchissantes de l’OM. Leurs forces ? Une formidable solidarité, un gros enthousiasme et l’amour du maillot. Gransart est leur guide. Mais, après la remontée en D1, à la fin de la saison 83-84, les dirigeants décapitent l’équipe de copains. Gransart, maillon essentiel de la période des Minots, sera, quant à lui, viré quelques mois plus tard.

Gérard Banide (1986-88)

On croit que c’est un duo qui débarque à l’OM, le ticket Tapie-Hidalgo ; c’est en fait un trio, l’ancien sélectionneur amenant dans son sillage Gérard Banide, qui fut son adjoint en équipe de France. Ce Cénévol bon teint a acquis, à Monaco, une réputation de formidable formateur, c’est aussi – ce qui ne gâte rien à Marseille- un excellent joueur de pétanque. Sera-ce suffisant pour tenir dans le caractère olympien ? Au bout d’une année où l’OM a terminé deuxième du championnat finaliste de la coupe, on aurait plutôt tendance à dire oui. Et plutôt non, la saison suivante quand Marseille atteint la demi-finale de la coupe d’Europe mais se vautre en championnat et en Coupe de France. La rumeur commence alors à dire que Banide ne supporte pas le stress inhérent à un club aussi passionnel que l’OM avec un président aussi exigent que Tapie. S’il termine finalement cet exercice, son sursis aura été de courte durée. Dés le début du championnat 88-89, après un nul à domicile et une défaite à Lille, Tapie tranche et largue Banide. Après, seulement, 180 minutes de compétition nationale. Encore un record Olympien.

Gérard Gili (1988-90, 96-97)

Cette fois, Tapie étonne vraiment. Lui, le flambeur, brillant causeur, irrésistiblement attiré par la lumière qui place l’inconnu Gérard Gili au poste d’entraîneur, sûr, pour une surprise, c’en est une. Gili, ancien gardien de l’OM, en charge du centre de formation, n’a pas un CV encombré de références. Et pourtant…Ce méditerranéen, qui a définitivement opté pour la sobriété et broie ainsi l’image du sudiste exubérant, réussit plutôt bien son entame en prônant le dialogue avec les joueurs. Et ça fonctionne. Pour sa première saison comme coach des pros, il réalise le doublé. Il est encore champion l’année suivante et ne manque pas la finale de la Coupe d’Europe qu’a cause de la trop fameuse main de Vata. Mais quand, en Septembre90, Bernard Tapie annonce l’arrivée de Beckenbauer, Gili, au parcours presque parfait, ne supporte pas de voire son autorité entamée et décide de partir. Il reviendra bien à Marseille, au début du règne de Dreyfus mais le « miracle » ne se reproduira pas.

Raymond Goethals (1991-93)

Quand Goethals se pointe à Marseille, en Janvier 91, chacun sait qu’il a un passé mais se demande s’il lui reste un avenir. Le belge, malin, va mettre tout le monde, in the pocket. Une p’tite blague, un bon mot, balancés entre deux bouffées de cigarettes, lui valent l’estime. Ses résultats vont définitivement asseoir sa réputation. En deux saisons et demie, il remporte trois titres de champion, bat le géant Milan en ¼ de finale de la C1 91 , avant d ‘échouer sur le fil à Bari contre l’Etoile Rouge. Mais lui et l’OM se rattraperont largement deux ans plus tard avec l’apothéose de Munich. Raymond la science peut partir le cœur léger à la retraite, il vient de vivre le plus grand exploit du football Français...MERCI MR RAYMOND


Les plus grands présidents de L'OM.

Marcel Leclerc (1965-72)

Quand Marcel Leclerc débarque à Marseille en 65, le club se morfond en D2 et vient de disputer un match tristement célèbre face à Forbach devant moins de 500 spectateurs. Leclerc, lui, a le vent en poupe. Dans les années 50, il a créé le premier hebdo français entièrement consacré à la télé « télé magazine », et va, entre bonhomie et intransigeante, gant de velours et main de fer, relancer l’OM. Ses titres : La remontée en D1 en 71et un formidable doublé en 72. Ses coups d’éclats ? Un plongeon dans le vieux-port après sa première coupe de France, des séances d’entraînement qu’il dirigeait lui-même en short et en crampon ( !), le remerciement de son entraîneur, Lucien Leduc, alors que l’OM avait 7 points d’avance sur le deuxième du classement sont parmi les plus marquants de cet homme tout en couleurs et en contrastes.

C’est encore lui qui arracha Carnus et Bosquier au Saint-Etienne de Roger Rocher. Pourtant, en 72, après l’historique doublé, son règne va s’achever brutalement. Accusé de malversation, il est contraint de démissionner. Son legs, c’est 7 ans de passion et le retour du club au sommet du foot français. Et ça, les supporters ne l’ont jamais oublié.

Bernard Tapie (1986-94)

Tapie à l’OM, l’histoire a commencé à…Paris, en 85, au cours d’un dîner à l’ambassade d’URSS. Question de Mme Charles Roux Defferre, l’épouse du maire de Marseille, à celui qui n’était pas encore B.T. aux yeux des Français : « Cela ne vous tenterait-il pas de prendre en charge les destinées de l’OM ?» Il n’en faut pas plus pour enclencher le processus qui conduira, 7 ans plus tard l’OM sur le toit de l’Europe. Au printemps 86, l’homme d’affaires débarque avec armes et bagages plus Hidalgo sur la canebière, promet « du rire des rêves et des résultats » et engage les premières stars de l’ère tapiesque : Papin qu’il a « kidnappé » alors qu’il devait signer à Monaco, Förester et Giresse que personne n’aurait imaginé quitter sa gironde natale. Très vite, le boss impose sa marque. Tantôt charmeur, tantôt cinglant, il manage le club en président omnipotent -même à distance- et n’hésite pas à monter en première ligne devant ses joueurs, lorsqu’il juge que la situation le nécessite. Avec lui, les entraîneurs vont valser, les stars passer et les résultats combler les supporters. l’OM de Tapie remporte cinq titre de champion, une coupe de France, perd la finale de C1 à Bari mais se venge deux ans plus tard à Munich face au Milan de Berlusconi. Marseille est le premier club français sur le toit de l’europe. C’était juste avant qu’éclate l’affaire VA-OM qui allait faire souffler la bourrasque sur la Provence et emporter Tapie…

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