Les plus grands joueurs de l'OM.
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Mr Didier Drogba
Un joueur exeptionnel,
un véritable poison
pour les défenses...
Chapeau bas...
merci Didier !!!
Les plus grands entraîneurs de l'OM.
Mario Zatelli (1964-66, 68-70, 72-73)Ancien joueur de l’OM (il a remporté la coupe 38), ce méditerranéen pur Mistral a été un véritable intermittent du coaching à Marseille. C’est sous l’ère Leclerc qu’il gagne ses galons de grand de l’OM. Trois fois viré et trois rappelé par le boss ! Record toutes catégories inégalé. A son palmarès d’entraîneurs, il compte une remontée en D1 (66), la victoire en coupe 69 et le doublé 79. Même, après son retrait définitif, il est toujours resté fidèle au Vélodrome. | |||||
Lucien Leduc (1970-72) Fin, drôle et cultivé, Lucien Leduc, haut personnage du foot français, reste un cas définitivement à part dans l’OM. Arrivé en cours de championnat 70-71 pour remplacer Zatelli, il allait conclure la saison sur un titre de championnat de France (Le premier depuis1948 !) et reprenait la compétition suivante sur le même tempo. Mais, alors que Marseille comptait sept longueurs d’avance sur son suivant immédiat, sans que l’on sache vraiment pourquoi, il fut remercié par Marcel Leduc, l’histoire olympienne prenait fin sur une drôle de bouillabaisse. | |||||
Roland Gransart (1981-85) Dans la famille gransart, on est olympien de père en fils. Il y a d’abord eu Maurice puis Roland. Roland, c’est l’entraîneur de la fameuse équipe des minots. Il joue encore et n’a que 28 ans, au printemps 81, lorsque les dirigeants d’un OM endetté et en D2 lui demandent de prendre en main l’équipe. Ou, du moins, ce qu’il en reste. Toutes les stars ont fui, gransart lance alors une bande de gamins, les pascal, De Bono, Di Falco and co, pour l’une des pages les plus rafraîchissantes de l’OM. Leurs forces ? Une formidable solidarité, un gros enthousiasme et l’amour du maillot. Gransart est leur guide. Mais, après la remontée en D1, à la fin de la saison 83-84, les dirigeants décapitent l’équipe de copains. Gransart, maillon essentiel de la période des Minots, sera, quant à lui, viré quelques mois plus tard. | |||||
Gérard Banide (1986-88) On croit que c’est un duo qui débarque à l’OM, le ticket Tapie-Hidalgo ; c’est en fait un trio, l’ancien sélectionneur amenant dans son sillage Gérard Banide, qui fut son adjoint en équipe de France. Ce Cénévol bon teint a acquis, à Monaco, une réputation de formidable formateur, c’est aussi – ce qui ne gâte rien à Marseille- un excellent joueur de pétanque. Sera-ce suffisant pour tenir dans le caractère olympien ? Au bout d’une année où l’OM a terminé deuxième du championnat finaliste de la coupe, on aurait plutôt tendance à dire oui. Et plutôt non, la saison suivante quand Marseille atteint la demi-finale de la coupe d’Europe mais se vautre en championnat et en Coupe de France. La rumeur commence alors à dire que Banide ne supporte pas le stress inhérent à un club aussi passionnel que l’OM avec un président aussi exigent que Tapie. S’il termine finalement cet exercice, son sursis aura été de courte durée. Dés le début du championnat 88-89, après un nul à domicile et une défaite à Lille, Tapie tranche et largue Banide. Après, seulement, 180 minutes de compétition nationale. Encore un record Olympien. | |||||
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Gérard Gili (1988-90, 96-97) Cette fois, Tapie étonne vraiment. Lui, le flambeur, brillant causeur, irrésistiblement attiré par la lumière qui place l’inconnu Gérard Gili au poste d’entraîneur, sûr, pour une surprise, c’en est une. Gili, ancien gardien de l’OM, en charge du centre de formation, n’a pas un CV encombré de références. Et pourtant…Ce méditerranéen, qui a définitivement opté pour la sobriété et broie ainsi l’image du sudiste exubérant, réussit plutôt bien son entame en prônant le dialogue avec les joueurs. Et ça fonctionne. Pour sa première saison comme coach des pros, il réalise le doublé. Il est encore champion l’année suivante et ne manque pas la finale de la Coupe d’Europe qu’a cause de la trop fameuse main de Vata. Mais quand, en Septembre90, Bernard Tapie annonce l’arrivée de Beckenbauer, Gili, au parcours presque parfait, ne supporte pas de voire son autorité entamée et décide de partir. Il reviendra bien à Marseille, au début du règne de Dreyfus mais le « miracle » ne se reproduira pas. | |||||
Raymond Goethals (1991-93) Quand Goethals se pointe à Marseille, en Janvier 91, chacun sait qu’il a un passé mais se demande s’il lui reste un avenir. Le belge, malin, va mettre tout le monde, in the pocket. Une p’tite blague, un bon mot, balancés entre deux bouffées de cigarettes, lui valent l’estime. Ses résultats vont définitivement asseoir sa réputation. En deux saisons et demie, il remporte trois titres de champion, bat le géant Milan en ¼ de finale de la C1 91 , avant d ‘échouer sur le fil à Bari contre l’Etoile Rouge. Mais lui et l’OM se rattraperont largement deux ans plus tard avec l’apothéose de Munich. Raymond la science peut partir le cœur léger à la retraite, il vient de vivre le plus grand exploit du football Français...MERCI MR RAYMOND Les plus grands présidents de L'OM.
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